Petite sortie vélo cette après-midi, rendez-vous à 14h30 devant chez Nath et Nico, ils sont venus ils sont tous là, je parle de Nath, Isa, Margareth, DD les grosses cuisses, Dam’s, Morfozo, Jean, une brève apparition de Eric et moi. Au programme, 2 heures tranquille, première tergiversation, on va où ? Direction Savonnières, vent dans le dos il n’y a pas de doutes possibles, 33/34 km/h, les mains en haut du guidon, peinard. A Savonnières on tourne, la chanson n’est pas la même, le vent est toujours présent, mais de côté cette fois-ci. Je me risque à prendre un ou deux relais aux cotés de Dam’s, ça pique ! Derrière ça décroche de temps en temps, ça m’arrange. Nath dans le texte : « Pourquoi on tourne pas c’est nul ! » « Va faire un tour aux cotés de Dam’s tu vas comprendre pourquoi ça tourne pas »
Retour à Savonnières, la boucle est terminée on rentre, ah ! ben non ! On rentre pas on fait une deuxième boucle, sois je suis, sois je rentre seul, donc je suis. Calé dans la roue de Dam’s qui ne force pas, nous rentrons tous les deux sur Margareth, Morfozo et Jean qui à notre arrivée décide d’attendre les autres. Vent dans le dos, nous roulons à 40 km/h, Margareth et Dam’s à deux de front, Morfozo et moi planqué dans les roues, on se regarde et on trouve que ça pique quand même. Maintenant vent de face, devinez qui est devant ? Vous avez trouvé la réponse, l’énergumène nous ramène à Savonnières, surtout ne pas laisser de trou ! On va chercher le petit groupe qui s’est formé derrière et on rentre à Saint Av’. Isa et Nath rentre toutes les deux, Nico et… Dam’s bavardent devant, nous on reste dans les roues. Jusqu’au moment ou Dam’s accélère doucement l’air de rien, demandez à mes cuisses si ça n’a pas fait mal. Jean saute le premier, il faut boucher le trou, DD rentre, moi j’essaie, Morfozo me passe et… je ne peux pas prendre sa roue longtemps, je suis cuit. On a beau tenter de revenir, malgré la compagnie de Margareth nous n’y arrivons pas, sachant que devant ils ne sont pas à fond. Ils ne prennent pas de terrain mais nous ne revenons pas. Enfin nous les rejoignons et pour cause ils font demi-tour pour aller chercher les autres ! Pour rentrer jusqu’à notre lieu de départ, je l’ignorais jusqu’à présent mais il y a deux cols hors-catégorie, un pont d’autoroute et un autre col du même acabit. C’est donc, non pas à l’agonie mais bien fatigué, les jambes absentes que j’ai retrouvé ma voiture et c’est Morfozo qui m’a ramené.
P.S : Je n’ai pas pris de barres céréales en partant, vous parlez pour une balade deux heures à vélo…